Marie P

Ô chérubins des cieux En moi toujours se combattent La violence et la douceur Ô chérubins des cieux, peur, Doute, ne sont point des honneurs En moi, forêts, longs chemins Bien plus que royaux jardins Ô chérubins des cieux, peur, Doute, représentent des malheurs L’art en devient mon écrin Il me recueille en son sein …

Sur la plage de ses souvenirsDans l’écume des réminiscencesAu creux d’une tempête de sens,Là, elle se trouve, telle statue de cire Sa longue chevelure d’or, au ventIris d’émeraude, si loin déjàCaressée par l’astre rougeoyantLa brise atténuant l’éclat Assise dans le sable si douxL’ondulation des mers apportantSur sa peau, détendue, hors du temps,L’eau teintée de mille …

Alexandrins sans titre Sans cesse m’envahie, l’impression de décevoirD’être, de toutes les amies, sœurs, filles, la pireA tous les moyens pour me faire voir, réfléchirNe plus être, mais paraître, qu’enfin ils puissent me voir. Alors une peur, une idée, naît dans ma têteDans ces rôles que je joue, l’angoisse de me perdreDe me noyer dans …

Perdue Faite de souffrancesDe désillusionsFaite d’arroganceEt de compassion Pas de foyer fixeMais plusieurs maisonsL’accueillant sans rixesD’un cœur très bon Appréciée partoutMais au fond si tristeTel Dario qu’on loueArrivant sur la piste Perdue entre amourEt déchirementDe ces gens si sourdsA l’attachement M.P 00